Nous l’avons déjà écrit, le syndicat Info’com qui a pris la suite du syndicat historique des typographes parisiens (CSTP) est un objet paradoxal : La Chambre syndicale typographique parisienne était un des plus vieux syndicats français, très représentatif dans son métier, ultra corporatif et bastion du réformisme. Il est assis sur un magot financier impressionnant amassé au cours d’un siècle d’activité.
La disparition du métier des typographes a conduit à une mutation radicale de cette structure, rompant avec la posture réformiste pour adopter une posture « ultra-gauche » dont les positions et critiques (...)