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La Filpac connait depuis des années une crise larvée qui paralysait en partie son activité. La défiance entre syndicats parisiens, les plus gros du pays, aboutissait à un éclatement en deux branches : d’un côté le maintien d’une structure dite du Comité Inter avec le syndicat des Correcteurs, la scission des rotativistes de presse quotidienne qui quittaient le Syndicat Général pour fonder leur syndicat le SIP, la sécession de la section routage (REC qui devait se dissoudre rapidement), la (...)