Comme toujours quand se profile une possibilité de forte mobilisation sociale, Michel Noblecourt commet un mauvais article dans le journal Le Monde où il ressasse ses obsessions (le syndicalisme de lutte) et professe ses conseils (la CGT recule parce qu’elle est trop radicale).
Rien de plus original dans son article du 27 février dernier. Au moment où les secteurs les plus combatifs (car oui il y a bien des divergences fortes dans les directions de la CGT) tentent de construire un puissant 22 (...)