En signant le pacte « plus jamais ça » avec d’autres syndicats et des associations écologistes l’an passé, la CGT rattrapait soudainement un certain retard sur les questions environnementales, trop longtemps sacrifiées au nom d’une logique productiviste protégeant des emplois dans une vision de court terme pour les salariés, mais de long terme quant aux méfaits en terme de pollution.
Plus personne ne peut ignorer la catastrophe climatique qui arrive. Ni ignorer que les plus pauvres payeront le plus (...)