En réponse à :
C’est aux Kanaks, peuple dépossédé de sa terre baptisée « Nouvelle-Calédonie » par le colonialisme français, de décider ce qui leur semble bon pour eux-mêmes. Et la solidarité avec leur syndicat, l’USTKE ne peut pas reposer sur des préalables. La CGT, invitée comme d’habitude en Kanaky pour le récent congrès de l’USTKE durant lequel une forte majorité des délégués ont voté pour le boycott du pseudo-référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, devait réserver une salle à la Bourse du Travail de Paris (...)