Philippe Martinez vient d’annoncer sa demande de réintégration dans son entreprise de détachement : Renault. Il aura cumulé sur ses épaules beaucoup de critiques et les historiens trancheront sur son rôle dans la modernisation de la CGT.
En proposant une femme pour lui succéder au poste de secrétaire générale de la CGT en mars prochain à l’occasion du 53° Congrès, il laissera, si ce choix est confirmé, l’image de celui qui aura coupé définitivement le lien avec le PCF et rompu avec un ouvriérisme désuet (...)