Au delà du cas de Benjamin Amar* qui vient d’être réintégré dans son poste, le communiqué confédéral indique que la CGT « poursuit sa réflexion sur l’évolution de ses règles de vie et sur une meilleure prise en compte de la parole des présumées victimes. »
Nous publions ici un texte publié sur Médiapart pour enrichir les débats et faire avancer un #metoo syndical.
Violences sexuelles : les syndicats doivent faire mieux que la justice patriarcale
Sans surprise, nous apprenons le classement sans suite de (...)