De nombreuses personnes s’interrogent sur la succession des deux journées de manifestations nationales contre la terrible loi immigration. A juste titre.
Les discussions préparatoires qui ont abouti à cette situation ont été l’objet, traditionnel, de divergences tactiques et sans doute de volonté de leadership. Les collectifs sans-papiers, en particulier parisiens habitués à manifester quasiment chaque samedi souhaitaient une manif dès le 6 janvier. Même les plus activistes ont jugé nécessaire de donner du temps à la mobilisation en proposant le 14 janvier. Mais cette date était déjà préemptée pour (...)